Départ au petit matin avec -6° à Cessenon pour la gare de Béziers avec ma chauffeuse préférée et le même sac à dos qu'il y a 50 ans. Une SNCF fidèle à elle-même amène de l'attente dans une gare non chauffée mais me voilà dans le train. Après un arrêt buffet dans mes anciennes terres valentinoises, je serai à Roissy en fin d'après midi pour un décollage à 22h, arrivée prévue à l'aéroport Indira Gandhi (encore elle!) à 10h 35 heure locale soit 6h du matin heure française (4h30 de décalage). je ne suis pas mécontent de quitter l'hiver pour des températures plus clémentes: 10° de minima, 18° de maximum. J'ai juste oublié de prendre mes masques restant du COVID pour me promener dans la ville devenue la plus polluée du monde [1]. Mon seul souvenir de difficultés respiratoires il y a 50 ans était une tempête de sable qui avait arrêté la circulation et m'avait obligé à me coucher face contre terre comme les autres piétons. Ca n'avait duré que quelques minutes mais on est resté dans un brouillard de sable pendant plusieurs heures.
- Voir article vivre dans la ville la plus polluée du monde.
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Voyageur vs SNCF